Peut-on mettre tout ce qu’on veut dans la QVT ?
Officiellement non, car elle a été bien définie en 2013, lors de la création de l’accord national interprofessionnel (ANI) porté par l’Anact (Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail), un organisme dépendant du ministère du Travail, vous pourrez ici lire l’accord dans son intégralité.
Dans cet article LCI, Julien Pelletier, membre de l’Anact, explique la lente prise de conscience des enjeux et des champs de la Qualité de Vie au Travail.
Depuis 6 ans, des avancées indéniables ont eu lieu, nous entendons beaucoup parler de bonheur et de bien-être au travail, nous avons vu apparaître et se répandre la fonction de Happiness Manager, et les entreprises mettent de plus en plus en avant leurs avantages « bien-être » dans leurs présentations : cadre de travail vert et lumineux, accès à des activités et services variés etc.
Ces petits +, ces avantages déployés, sont le plus souvent des « périphériques du travail ». Les fruits, les midis yoga, les salles de sieste, sont adoptés avec enthousiasme, mais ne concernent pas directement les questions d’organisation du travail.
Parce que toucher à l’organisation même du travail est plus délicat. Les dirigeants expriment leurs difficultés à avoir une vision claire afin d’émettre des solutions de fond sur ce sujet.
L’assistance sociale d’entreprise peut sembler faire partie de ces services de « périphérie », mais va en réalité bien au-delà. Les assistantes sociales Responsage reçoivent chaque jour des appels de salariés faisant part de problèmes concrets, qui impactent aussi bien leur vie personnelle que professionnelle.
De ces centaines d’appels, les assistants sociaux captent des problématiques propres à l’organisation des entreprises. Le stress, le manque de sens, l’épuisement, les relations conflictuelles etc.
Ces difficultés, Responsage est capable de les faire remonter rapidement grâce à ses outils de reporting très performants. Tout en veillant scrupuleusement au respect de l’anonymat.
Les RH et managers ont alors mieux conscience des problématiques précises d’organisation de leurs services et peuvent envisager plus efficacement des pistes d’actions concrètes.